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TOP 20 : PORTUGAL – Un autre pas vers un 8e titre - Les Gars de Courses

TOP 20 : PORTUGAL – Un autre pas vers un 8e titre


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Au début de la saison, quand on m’a demandé qui était le favori pour décrocher le championnat du monde des pilotes en 2021, j’ai répondu Lewis Hamilton, sans hésiter. Après 3 manches sur 23, j’hésiterais encore moins. En tête de mon power ranking depuis la première course, l’écurie Mercedes est encore le meilleur bolide du plateau. Dominante en 2020 sur ce circuit que nous découvrions, elle l’est demeurée cette année, même si l’écart s’est réduit avec Red Bull. « La bunch » était derrière, sur une autre planète. Certains ont brillé, certains ont pâli, c’est pour ça qu’on les topvingtise. Ne cherchez pas ce mot dans le dictionnaire, je viens de l’inventer.

NUMÉRO 1 – LEWIS HAMILTON

Toujours à court de sa centième pôle position, qui arrivera tôt ou tard, le champion s’est battu à la relance avec Max, pour reprendre la deuxième place et ensuite coiffer Bottas dans ce qui avait l’air d’un superbe dépassement. Pas besoin de consigne d’équipe, quand le #2 en avant prend le virage dans la zone poussiéreuse. La manœuvre du Britannique était vive, précise et ne faisait pas de doute sur sa supériorité sur le Finlandais. J’ai bien aimé que Lewis envoie son écurie se faire voir lorsqu’on lui a proposé d’entrer aux puits pour aller chercher le meilleur tour en fin de course. Le vieux singe a rapidement calculé qu’il ne suffisait que d’une grimace d’un mécano pour risquer plusieurs des 25 points afin d’en gagner un supplémentaire. Bien joué.

NUMÉRO 2 – Max Verstappen

Pour la première fois cette saison, il n’avait pas la monture pour gagner. La deuxième marche du podium est un mélange de talent et de stratégie. Un tour plus âgé, les pneus de Max étaient en mesure de se battre avec ceux de Valtteri, même si le Finlandais était sorti devant lui des puits. Anticiper le prochain virage en sortant vers l’extérieur pour ensuite prendre l’intérieur, c’était une occasion unique dans l’épreuve. S’il ne la réussissait pas, il n’aurait pas eu les mêmes conditions dans les tours suivants. Il l’a réussi à perfection. C’est pour ça qu’on l’aime et c’est grâce à ça qu’on aura une vraie course au championnat. Bémol : il a mis les 4 roues hors-piste au virage 14 et s’est vu retirer son meilleur tour. Puisque l’écurie a la bonne idée de le faire rentrer pour tenter d’aller chercher le point boni, est-ce qu’on pourrait aussi avoir le flash de rappeler ce règlement fatal au meilleur temps au tour ? Je blâme l’ingénieur.

NUMÉRO 3 – Valtteri Bottas

Parti en pôle, devant Lewis Max et Sergio, on ne donnait pas cher de sa peau. Il aura au moins battu Sergio ! On s’impatiente chez Mercedes. Bottas avait la meilleure voiture disponible et s’est fait battre par une Red Bull, qui gagne des points de championnats importants. Regrette-t-on d’avoir trop ménagé Hamilton, et de ne pas avoir assis dans ce siège un jeune affamé comme George Russell ? Enfin, Bottas a réalisé le meilleur tour de l’épreuve, en respectant les limites de piste, il faut lui donner ça. En passant, chapeau à la F1 d’avoir instauré ce point boni. La fin de course aurait été moins intéressante n’eut été de cette épice.

NUMÉRO 4 – Sergio Perez

Je m’explique mal comment il a pu avoir été choisi le pilote du jour. Il a fait du bon boulot, il a livré la marchandise, mais terminer 4e dans une course commencée 4e, c’est la base. Il est allé chercher une certaine sympathie en ménageant très bien ses pneus et s’arrêtant très tard, mais pour accomplir quoi ? Bottas ne semblait pas imbattable, s’être arrêté tard ne l’aura jamais mis dans la position de pouvoir se battre avec lui, ce que l’autre Red Bull a fait avec brio. Un bon week-end de travail pour le Mexicain qui prend ses aises dans le taureau rouge pas rouge.

NUMÉRO 5 – Lando Norris

La constance, c’est une belle qualité dans tous les sports. Le jeune pilote McLaren met des gros points au tableau à chaque course et fait systématiquement mieux que son coéquipier. Ce week-end, c’est comme s’il n’y avait qu’une McLaren en piste, mais son travail permet de garder l’écurie orange dans le top 3 de mon power ranking. Norris a bien manœuvré pour se garder en avant de Charles Leclerc, qu’il voyait dans son rétroviseur pendant une partie de la deuxième moitié de l’épreuve. 3e top 5 en autant de course, certainement le « meilleur des autres » et de loin.

McLaren buoyed by strong start to F1 2021 at pre-season testing, as they catch Lewis Hamilton's eye | F1 News

NUMÉRO 6 – Charles Leclerc

Il aurait aimé faire mieux. Premièrement, il s’est qualifié 3 positions derrière son coéquipier, ce n’est pas dans ses habitudes. Puis, en course, il a réussi à gagner 2 places, mais il aspirait à plus. Il a répondu aux journalistes que de partir la course sur les mediums était une erreur, mais au fond, Ferrari fait une belle opération avec les points ramassés. Clairement pas une piste qui favorisait la Scuderia, mais Leclerc a connu la victoire dans ses premiers pas en rouge et la progression de cette saison n’est pas suffisante pour le rassasier. La 6e position était le meilleur scénario à Portimao, alors bravo.

NUMÉRO 7 – Esteban Ocon

Wow. Le Français a reçu mon vote comme pilote du jour. J’ai été très dur dans un passé assez récent avec ce pilote, qui avait bien débuté sa carrière chez Racing Point, mais avait couru en demi-teinte depuis son retour l’an dernier chez Renault. Les Alpines ont dépassé Aston Martin dans mon power-ranking cette semaine, puisqu’elles ont été capables d’être compétitive et ont même eu le meilleur sur une McLaren, une Alpha Tauri et une Ferrari ! Le travail de développement qu’on a fait chez Renault a payé, j’ai hâte de les voir rouler à Barcelone, un circuit baromètre. Pour revenir au Français, j’ai trouvé le dépassement d’Ocon sur Sainz sublime. Sa 6e position sur la grille de départ est également un exploit digne de mention, quand on se souvient des 2 premiers Grands Prix de la saison.

NUMÉRO 8 – Fernando Alonso

Sa présence en tir groupé avec son coéquipier concrétise le bon travail chez Alpine. Parti de la 13e position, il a gagné 5 places pour décrocher 4 beaux points. Pilotant pour la première fois sur le circuit de Portimao, l’Espagnol a déjoué les léthargiques Ricciardo et Sainz pour terminer 8e, une brillante performance.

NUMÉRO 9 – Daniel Ricciardo

Une fin de semaine à oublier pour l’Australien, même si tout n’est pas noir. Samedi, pour une rare fois dans sa carrière en Formule 1, il a été éliminé dès Q1. Parti 16e, il a orchestré une remontée spectaculaire l’amenant jusqu’aux points. Parmi ses dépassements, notons celui où il a passé Sebastien Vettel au bout de la ligne droite des puits. Reste que ses 2 petits points et sa 7e place au championnat laisse songeur quand on regarde le travail effectué par son coéquipier Lando Norris. Le Championnat est jeune Daniel! Peut-être profiteras-tu de certaines circonstances pour boire du champagne aromatisé au fromage.

NUMÉRO 10 – Pierre Gasly

D’ordinaire beaucoup plus visible, on ne l’a que très peu vu à l’œuvre. Seule Alpha Tauri en Q3 et dans les points, il a quand même livré la marchandise. Après les qualifs, il avait avoué que son écurie avait du mal avec le circuit, soit en raison des virages lents, soit à cause des vents qui soufflaient très fort. 1 petit point, c’est mieux que rien.

Gasly: AlphaTauri has 'good reason to be excited' for 2021 F1 season

NUMÉRO 11 – Carlos Sainz

Les Ferrari ont souffert au niveau de l’adhérence, mais c’est une excuse difficile à accepter lorsqu’on compare Sainz avec Leclerc. Surtout que samedi, Carlos a réussi à avoir l’ascendant sur Charles avec une brillante 5e place sur la grille de départ, que l’Espagnol n’a pas pu convertir en points. Échec ! On se reprend à la maison dimanche prochain.

NUMÉRO 12 –  Antonio Giovinazzi

Je suis encore soufflé de le voir là, devant les Aston Martin. Je ne veux rien enlever à l’Italien, mais ça fait dur en arrière de lui. En plus, ça aurait très pu mal tourner quand, à la fin du premier tour, son coéquipier a frappé son pneu arrière gauche. Obtenant une place à Q2, une douzième place sur la grille de départ et au drapeau à damier, Giovinazzi a roulé l’une de ses meilleures courses depuis qu’il est en F1. C’est juste plate pour lui que ça n’intéresse pas grand monde.

NUMÉRO 13 – Lance Stroll

Que s’est-il passé en fin de semaine ? Possédant les plus récentes évolutions d’Aston Martin, dont le nouveau fond plat, disons que le Québécois n’avait pas entre les mains la monture pour réussir. Catastrophique élimination à Q1 samedi. Sa faute ? Celle des évolutions ? C’est difficile à dire puisque Vettel a mieux qualifié, mais avec un bolide non-modifié. En course, Lance a quand même réussi à rattraper son coéquipier, pourtant parti loin devant lui. J’ai donc tendance à donner la faute à Stroll pour la déconfiture en qualification. Ce ne serait pas la première fois qu’il en arrache sur un seul tour lancé. On se cherche chez Aston Martin, et Lawrence n’a pas l’air du gars qui va réagir doucement si t’arrive 15 minutes en retard avec sa commande UberEats.

NUMÉRO 14 – Sebastian Vettel

Un peu moins de honte pour le quadruple champion du monde. Pour la première fois depuis un bout de temps, incluant sa fin chez Ferrari, il s’est rendu jusqu’à Q3. Parti 10e, il n’a pas pu faire grand-chose pendant l’épreuve. Il s’est fait même battre par son coéquipier parti 17e. Ayoye avec un A majuscule.

NUMÉRO 15 – Yuki Tsunoda

Il s’est jinxé lui-même. Depuis qu’il a dit aux médias après sa première course en carrière qu’il se voyait un jour champion du monde, le Japonais n’a rien cassé. Les Alpha Tauri n’était pas compétitive en fin de semaine, mais Gasly a marqué.

NUMÉRO 16 – George Russell

Il est capable de nous épater en roulant une voiture de fond de grille. Sa 11e place sur la grille de départ est l’un des exploits de la fin de semaine. Russell est constant, concrétise course après course dépassant un petit peu les limites du possible. Williams a une grande côte à remonter mais le Britannique fait honneur au travail des ingénieurs.

Williams's 2021 performance at the mercy of the wind - Russell · RaceFans

NUMÉRO 17 – Mick Schumacher

C’est pas mal ! Il faut prendre chacune des petites victoires chez Haas cette année et d’avoir battu une Williams en est une. Nicholas Latifi a raté son freinage, Shumi Jr a sauté sur l’opportunité et a conservé sa position par la suite. On bâti là-dessus.

NUMÉRO 18 – Nicholas Latifi

Partir 18e et terminer 18e. Perdre une position au profit d’une Haas. Il y a peu à dire sur le week-end du Canadien. Ses deux premières courses montraient une progression par rapport à l’an dernier, mais il n’a rien produit en fin de semaine.

NUMÉRO 19 – Nikita Mazepin

Votre super-licence s’autodétruira à la fin de la saison. Je souhaite à Gene Haas un meilleur pilote soutenu par une fortune que celui-ci. Il a presque coûté la course à Sergio Perez, en ne respectant pas le drapeau bleu. Ils en ont pourtant en Formule 2, de ces drapeaux-là. La vérité c’est que de rouler une Formule 1 est une commande trop grande pour Mazepin, l’idéal sécuritaire serait qu’on lui en achète une et qu’on le fasse rouler tout seul.

NUMÉRO 20 – Kimi Raikkonen

Il a fauté, s’est excusé auprès de son coéquipier et a été la seule victime de sa mauvaise manœuvre.

En conclusion, bien qu’il y ait eu plusieurs dépassements, pour une raison que je m’explique mal, j’ai trouvé le spectacle plus terne. S’agit-il des prises de vue, trop loin de l’action, ou des effets secondaires du Pfizer qu’on m’a shooté dans le bras plus tôt aujourd’hui, je ne saurais dire. Peut-être que les deux premières courses avaient mis la barre trop haute, une année de F1 est composée de plusieurs dimanche comme celui que nous avons eu aujourd’hui. À la semaine prochaine!

POWER RANKING DE LP GUY

#1 Mercedes |  –

#2 Red Bull | –

#3 McLaren | –

#4 Ferrari | –

#5 Alpha Tauri | –

#6 Alpine | + 1

#7 Aston Martin | – 1

#8 Alfa Romeo | –

#9 Williams | –

#10 Haas | –

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