Circuit urbain de Toronto : une première expérience difficile pour Jean-Philippe Bergeron

Toronto, Ontario, le 17 juillet 2022 — La série NASACR Pinty’s était de passage dans la métropole ontarienne vendredi dans le cadre des activités du Grand Prix de Toronto. Il n’y a pas à dire ce fût une journée de travail difficile pour Jean-Philippe Bergeron, qui expérimentait le circuit pour la première fois. Une crevaison survenue en pleine séance de qualification a relayée le pilote à la 17e place pour le départ de la course de 35 tours. Le pilote est finalement parti 16e sur la grille de départ suite à une pénalité décernée à Marc-Antoine Camirand.

 

Des températures au-dessus de 30 degrés et une mauvaise hydratation et ont eu raison du résultat. «À la fin de la course, j’étais épuisé. J’ai commencé à avoir mal à la tête, j’avais chaud et je manquais de concentration. Les erreurs de pilotage se sont enchainées et nous avons terminé en 13e position», mentionne le pilote, tout de même très satisfait de la voiture livrée par Jacombs Racing. «On avait une bonne voiture. J’ai appris beaucoup encore une fois. Je commence à mieux maitriser les repères», ajoute celui qui a bataillé longuement avec Brandon Watson, lui aussi en lice pour le titre de recrue de l’année. Pour la première fois de la saison, Bergeron a terminé devant Watson, ce qui a contribué à rétrécir l’écart entre les deux pilotes au championnat.

 

Bergeron se retrouve maintenant au 10e rang du championnat des pilotes avec un total de 163 points. Seulement 40 points le séparent de la première place occupée actuellement par Kevin Lacroix. Avec encore 8 courses à faire, tout est encore possible pour atteindre l’objectif d’un top-5 au championnat.

 

Prochain arrêt : Edmonton

L’équipe #1 Prolon Controls | Circuit téléguidé Saint-Roch | Groupe Olivier | Rousseau Métal part maintenant pour un voyage dans l’Ouest canadien. Le pilote sera de nouveau en piste le 23 juillet prochain sur le circuit de l’Edmonton International Raceway pour la sixième course de la saison, le «  Bayer 300».

 

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